24 février 2005
Bye bye le chat...
Il ne reviendra pas. C'est Victor qui me l'a annoncé. Il m'a dit que le
type du bureau de tabac l'avait retrouvé sur la route hier matin,
l'avait enterré dans son mini jardin derrière la boutique et demandait
à tous les gens du quartier s'il avait pas perdu de vue leur chat.
Victor le savait. Et j'ai su aussi quand je l'ai trouvé devant ma
porte, le Victor, avec sa mine triste.
Après, on se dit, voilà, on est des grands, c'est qu'un chat. Mais putain, c'était mon chat et déjà que j'ai pas grand'chose (disons le franchement, ma vie est un désert affectif) je pleure comme un con depuis que Victor est reparti.
Puis je me dis, Edouard a goûté à la liberté pour ses derniers jours, il a sans doute beaucoup aimé, sinon, il serait revenu... Il a peut-être même rencontré une demoiselle-chat et connu le grand amour.
Waouh, qu'est ce que je me sens seul! Si au moins elle pouvait me voir. Si au moins quelqu'un pouvait me voir. L'impression que je n'existe pas.
Après, on se dit, voilà, on est des grands, c'est qu'un chat. Mais putain, c'était mon chat et déjà que j'ai pas grand'chose (disons le franchement, ma vie est un désert affectif) je pleure comme un con depuis que Victor est reparti.
Puis je me dis, Edouard a goûté à la liberté pour ses derniers jours, il a sans doute beaucoup aimé, sinon, il serait revenu... Il a peut-être même rencontré une demoiselle-chat et connu le grand amour.
Waouh, qu'est ce que je me sens seul! Si au moins elle pouvait me voir. Si au moins quelqu'un pouvait me voir. L'impression que je n'existe pas.
Publicité
Publicité
Commentaires
M
A
L
A